Mon cœur
Précipite dans mon creux
Comme la flotte qui verse
Ruisselant dans mon creux
En bruissant par l’averse
De grosses mêlées de grêlons
Palpitant des tonnerres violents
Creux qui défailli mon siège
Ne m’arrache pas mon humeur
Rude à braver le sourire
Telle est ma passion
La Patrie
Amour primaire illuminant mon séjour
Incliner le regard brillant vers le ciel ;
Au seuil de la céleste rosée qui chante
Éblouit par les mélodies de sa source
Terreau qui affectionne mon berceau
Terroir fertile qui porte mes premiers pas
Berceaux qui m’as nourrit de ses saveurs
Tes montagnes verdoient la contrée pacifique
Cri de Centrafrique
Je cri et ma voix s’évanouit
Je grogne et mes plaintes en sourdent
Je pleure et mes larmes versent sans effets
Je simule et mes Projecteurs s’obnubilent
Je regarde et les coups m’en retournent
Je décris et mes plumes s’en fument
Je m’égosille et mon cris s’aphone
J’affronte et mon front s’emprisonne
Je meure et mon absence en perdure
vieillesse
La beauté qui décrépite
Perçant aujourd’hui vite
Lentement amortit et sénile.
Des plis se naissent et déplaisent
Et les ans qui pèsent déraisonnent.
Puis les habitudes se détournent au jour
Pour épouser à force des contours
Perçant à l’aurore tout doux,
Décrépit au crépuscule rude
Vers l’avenir qui ralentit son pas
Derrière le souvenir arpenté du trésor
Garnit des récentes gouttes de sifflets
Une rosée dans le ciel avant dressé
Pâlir à l’horizon sur terre redressée
Lointain défile en arrière des reflets
Et se rétractant pleinement au trépas
Espoir
Ardent désir dormant
Brûle en lumière broussaille du visé
Au rythme de son apparence douce,
Piquant visé qui clame silencieux
Rayonnant une bouffée odorante,
Exalte au profond des éclats,
Des luminaire égrené de faveurs
Espoir ferme qui referme la foi
En deçà, l’adhésion est maîtresse
Front éclatant de grain d’amour,
Coffré relâché envole des peines
Frémit desseins féroces,
Ronger nage de frissonne
Bouffé de souffle came ronflant
Au rayon lumineux somptueux;
Pomme virile couvert d’espoir
Pénombre classée au point vide
Ployant d’inertie bleuâtre amoindri
Echo de la nature
Par clairière d’une main douce
Une clameur tendre qui s’étend
À travers les ombres paisibles
Crêpelés des échos harmonieux
Dans une nature verdoyante
Bruissant de différente créature
Immerger dans les champs merveille
Au confort du palais de plaisir
Dans une sensation grandissante
Sourire
Je garde sourire dans la peine,
Et ma souffrance grimpe haut;
Je fuis pour protéger, se rehaut
Et traverse la surface chanfreine
Pour partager ma richesse,
Je donne le fond de mon cœur ;
Pour faire voir sans rancœur,
Je libère le model de ma sagesse .
Même au jour du deuil la joie reste,
Même la nuit de joie tout persiste
Delà j’exprime ma joie.
Plus haut le ciel m’aide à vivre.
C’est le meilleur remède à suivre
Telle est la réponse pour ce temps
Télépathie
L’aurore ouvre ses pauvres
Dans la pénombre sans seuil qui veille éveille
La lueur
Me brouille d’embrouille les yeux
Se soulage d’éclat fureur
« Simulacre »
Beauté sauvette de mon regard
Qui puise la pauvreté de mes verbes sans courage
Mon cœur remplit ferveur d’angoisse
Dans les yeux énervés, clos fermé de télépathie
Se morfond dans les épines roses
Hélas même au-delà
Impatient
La mort
Je m’en fonce en force
Même au-delà vil mais vidé
De l’au-delà remplit de trépas
Méconnu même les vivants sans squelettes
Inerte
Dans un brouillard vidé de son esprit
D’actuelle perte
J’ignore revivre
A part dans le départ de mon passé
Affermi de mon envie plein d’espoir
De renaitre un soir même pas à croire
Gouttière à bâbord d’ombre difforme
Leurs soifs cousues d’espoir envidé de rêve
Rêve qui veille dans mon âme
Au désir de combler le vide
Faim à satisfaire le malheur
Silence qui hurle dans mon profond
Au rythme de pas qui s’arrête
Pour un départ vers une fin méconnue
Jetant au seuil des cieux sombres
Fondu et vivre le temps qui s’en va
D’une voix qui chante dans mon âme
Ruisselant des larmes dans mon cœur
Miroir d’âme qui pleur d’envie accablante
Rude effort pour braver le vain retour
Par une clameur cadencée autrefois vidée
Âme froidement posée devant la céleste rosée
De la poussière qui s’effondre en poussière
Âme stérile qui clame l’angoisse silencieuse
Nuit de conte
Lumière dépliée sur sa couche
Qui roule sans se courber
Referme ses oreilles mouillées
L’allure de la nuit raconte
Qui pleure en rire
Sans la couverture nocturne
Grisonnant l’alentour
On entend les zombis de la nuit, cris
Chantent dévorent l’obscures
Qui cloche ses clameurs à travers le village
Au confort vraiment du conteur
Tout autour du prononcer des parole pilées
Leurs visés ciselés dans les reflets des nuits, cris
Mais crever
Pour mieux et tout savourer
Ses paroles fumantes mais pilées
Du chauve aux cheveux mauves
C’est une nuit de conte
Qui de tricote les mailles
La couche dure qui roule
Et nous décadence le pas las
En grisonnant l’alentour au détour retour
Sur ton front visé perdu d’écoute proche,
nuit sombre clocher des cris de bete
dans la nature de
nuits sèche mirée
de chant des silhouettes qui clament
dans la brousse éclairée par
des astres
luisant la nuit douce sombre
raisonnant des cigales dans la nuit
errée au bas du ciel vent léger
qui soufflant la danse des ombres
sur terre ciel garni des étoiles
passage sage, plaisir, loin
se pencher du fond souriant ;
entends la douce nuit qui marche
reflet distance des yeux du soir
retrouvaille d’horizons comme la nuit
qui promène les yeux
Sur ton front visé
perdu d’écoute
proche, nuit sombre clocher
des cris de bete dans
la nature
dans le nuits sèche
mirée de chant
des silhouettes qui clament
dans la brousse éclairée par des astres
luisant la nuit douce
sombre raisonnant
des cigales dans la nuit errée
au bas du ciel vent
léger qui soufflant
la danse des ombres sur terre
ciel garni des
étoiles passage sage,
plaisir, loin se
pencher du fond souriant ;
entends la douce nuit
qui marche reflet
distance des yeux du
soir retrouvaille
d’horizons comme la
nuit qui promène
les yeux sous tes
mains,
nuit, trésor retrouvée, par terre visé,
replonge la
nuit cachée de sombre
dans le vase fauteuil
lumière jailli la nuit
Sous tes mains, nuit, trésor retrouvée,
par terre visé, replonge la nuit cachée
de sombre dans le vase
fauteuil lumière jailli la nuit
Le jour et nuit
Le jour se lève ;
Et la nuit couvre la terre ;
L’enveloppe de son drap
Le temps passe et fait tard ;
Pénombre et clairière
Éclaire sombre de couleur ;
Du début à la fin d’activité
Les chants d’oiseaux et crapaud.
Des coqs et cigales,
Du matin jusqu’au soir,
Le jour et la nuit,
Les bruit et le silence;
Le brouhaha et chant des hiboux
La rivière chante à la nature ;
Faisant un son lointain
Cri de Centrafrique
Je cri et ma voix s’évanouit
Je grogne et mes plaintes
en sourdent
Je pleure et mes larmes
restent sans effets
Je simule
et mes Projecteurs s’obnubilent
Je regarde et les coups
m’en retournent
Je décris et mes
plumes s’en fument
Je m’égosille et mon cris s’aphone
J’affronte et mon front s’emprisonne
Je meure et mon absence en
perdure