mercredi 3 juillet 2019

Fond du cœur



Mon cœur

Précipite dans mon creux
Comme la flotte qui verse
Ruisselant dans  mon creux
En bruissant par l’averse
De grosses mêlées de grêlons
Palpitant des tonnerres  violents
Creux qui défailli mon siège
Ne m’arrache pas  mon humeur
Rude  à braver le sourire
Telle est ma passion

La Patrie

Amour primaire illuminant mon séjour
Incliner le regard brillant vers le ciel ;
Au seuil de la céleste rosée qui chante
Éblouit par les mélodies de sa source
Terreau qui affectionne mon berceau
Terroir  fertile qui porte mes premiers pas
Berceaux qui m’as nourrit de ses saveurs 
Tes montagnes verdoient la contrée pacifique
Cri de Centrafrique
Je cri et ma  voix s’évanouit
Je grogne et mes plaintes en sourdent
Je pleure et mes larmes versent sans effets 
Je simule et  mes Projecteurs s’obnubilent
Je regarde et les coups m’en retournent 
Je décris et mes plumes  s’en fument
Je m’égosille  et mon cris s’aphone 
J’affronte  et mon front s’emprisonne
Je meure et mon absence en perdure


vieillesse

La beauté qui décrépite
Perçant aujourd’hui vite 
Lentement amortit et sénile.
Des plis se naissent et déplaisent
Et les ans qui pèsent déraisonnent.
Puis les habitudes se détournent au jour 

Pour épouser à force des contours
Perçant à l’aurore tout doux,
Décrépit au crépuscule rude 
Vers l’avenir qui ralentit son pas
Derrière le souvenir arpenté du trésor

Garnit des récentes gouttes de sifflets
Une rosée dans le ciel avant dressé
Pâlir à l’horizon sur terre  redressée  
Lointain défile en arrière des reflets
Et se rétractant pleinement au trépas 

Espoir
 
Ardent désir dormant 
 Brûle en lumière broussaille du visé 
 Au rythme de son apparence douce,
 Piquant  visé qui clame silencieux

 Rayonnant une bouffée  odorante,
 Exalte au profond  des éclats,
 Des luminaire égrené de faveurs
 Espoir ferme qui referme la foi
 En deçà, l’adhésion est maîtresse
 Front éclatant de  grain d’amour,

 Coffré relâché  envole des peines 
 Frémit desseins féroces, 
 Ronger  nage  de frissonne
 Bouffé de souffle came ronflant 
  Au rayon lumineux somptueux;
  Pomme virile couvert d’espoir 
 Pénombre classée au  point  vide
Ployant d’inertie   bleuâtre  amoindri  

Echo de la nature

Par clairière d’une main douce
Une clameur tendre qui s’étend 
À travers les ombres paisibles
Crêpelés des échos harmonieux
Dans une nature verdoyante
Bruissant de différente créature
Immerger dans les champs merveille
Au confort du palais de plaisir
Dans une sensation grandissante

Sourire

Je garde sourire dans la peine,
Et ma souffrance grimpe haut;
Je fuis pour protéger, se rehaut 
Et  traverse la  surface chanfreine

Pour partager ma richesse,
Je donne le fond de mon cœur ;
Pour faire voir sans rancœur,
Je libère le model de ma sagesse .

Même au jour du deuil la joie reste,
Même la nuit de joie tout persiste
Delà  j’exprime ma joie.

Plus haut  le ciel m’aide à vivre.
C’est le  meilleur remède à suivre
Telle est la réponse pour ce temps


Télépathie

L’aurore  ouvre ses pauvres
Dans la pénombre sans seuil qui veille éveille
La lueur 
Me brouille d’embrouille les yeux
Se soulage d’éclat  fureur
« Simulacre  » 
Beauté sauvette de mon regard
Qui puise la pauvreté de mes verbes sans courage
Mon cœur remplit ferveur d’angoisse 
Dans les yeux énervés, clos fermé  de télépathie
Se morfond dans les épines roses
Hélas même au-delà
Impatient

La mort

Je m’en fonce en force
Même au-delà vil mais vidé
De l’au-delà remplit de trépas
Méconnu même les vivants sans squelettes 
Inerte
Dans un brouillard vidé de son esprit
D’actuelle perte
J’ignore revivre
A part dans le départ de mon passé
Affermi de mon envie plein d’espoir
De renaitre un  soir même pas à croire
Gouttière à bâbord d’ombre difforme
Leurs soifs cousues d’espoir envidé de rêve
Rêve qui veille dans mon âme
Au désir de combler le vide  
Faim à satisfaire le malheur 
Silence qui hurle dans mon profond 
Au rythme de pas qui s’arrête 
Pour un départ vers une fin méconnue
Jetant au seuil des cieux sombres 
Fondu et vivre le temps qui s’en va
D’une voix qui chante dans mon âme
Ruisselant des larmes dans mon cœur
Miroir d’âme qui pleur d’envie accablante
Rude effort pour braver le vain retour
Par une clameur cadencée autrefois vidée
Âme froidement posée devant la céleste rosée
De la poussière qui s’effondre en poussière 
Âme stérile qui clame l’angoisse silencieuse

Nuit de conte

Lumière dépliée sur sa couche
Qui roule sans se courber
Referme ses oreilles mouillées 
L’allure de la nuit raconte
Qui pleure en rire
Sans la couverture nocturne
Grisonnant l’alentour
On entend les zombis de la nuit, cris
Chantent dévorent l’obscures
Qui cloche ses clameurs à travers le village
Au confort vraiment du conteur
Tout autour du prononcer des parole pilées
Leurs visés ciselés dans les reflets des nuits, cris
Mais crever
Pour mieux et tout savourer
Ses paroles fumantes mais pilées
 Du chauve aux cheveux mauves
C’est une nuit de conte
Qui de tricote les mailles
La couche dure qui roule
Et nous décadence le pas las
En grisonnant l’alentour au détour  retour

Sur ton front visé perdu d’écoute proche,

 nuit sombre clocher des cris de bete

dans la nature de nuits sèche mirée

de  chant  des silhouettes qui clament

dans  la brousse éclairée par des  astres

 luisant la nuit douce sombre

raisonnant des cigales dans la  nuit

errée au bas du ciel vent léger

qui soufflant la danse des ombres

sur terre  ciel garni des étoiles

passage sage, plaisir, loin

se pencher du fond souriant ;

entends la douce nuit qui marche

reflet distance des yeux du soir

retrouvaille d’horizons comme la nuit

qui promène les yeux Sur ton front visé

perdu d’écoute proche, nuit sombre clocher

des cris de bete dans la nature

dans le nuits sèche mirée de  chant

 des silhouettes qui clament

dans  la brousse éclairée par des  astres

luisant la nuit douce sombre raisonnant

 des cigales dans la  nuit errée

au bas du ciel vent léger qui soufflant

 la danse des ombres sur terre 

ciel garni des étoiles passage sage,

plaisir, loin se pencher du fond souriant ;

entends la douce nuit qui marche reflet

distance des yeux du soir retrouvaille

d’horizons comme la nuit qui promène

les yeux sous tes mains,
nuit, trésor retrouvée, par terre visé,

 replonge la  nuit cachée de sombre

dans le vase fauteuil  lumière jailli la nuit

Sous tes mains, nuit, trésor retrouvée,

par terre visé, replonge la  nuit cachée

de sombre dans le vase fauteuil  lumière jailli la nuit

 

 

 

 

Le   jour et nuit

Le jour se lève ;
Et la nuit couvre la terre ;
L’enveloppe de son drap
Le temps passe et fait tard ;
Pénombre et clairière
Éclaire sombre de couleur ;
Du début  à la fin d’activité
Les chants d’oiseaux et crapaud.

Des  coqs et cigales,
Du matin jusqu’au soir,
Le jour et la nuit,
Les bruit et le silence;
Le brouhaha et chant des hiboux
La rivière  chante à la nature ;
Faisant un son lointain


Cri de Centrafrique

Je cri et ma  voix s’évanouit

Je grogne et mes plaintes en sourdent

Je pleure et mes larmes restent sans effets

Je simule et  mes Projecteurs s’obnubilent     

Je regarde et les coups m’en retournent

Je décris et mes plumes  s’en fument

Je m’égosille  et mon cris s’aphone

J’affronte  et mon front s’emprisonne

Je meure et mon absence en perdure